Des êtres dominés par leur égo, on les croise tous les jours dans la vie.
Je les trouve fragiles et souvent incohérents.
Plutôt que de reconnaître leurs erreurs ou simplement les regretter, ils ont plutôt tendance à se laisser envahir par la tentation de reporter la faute sur les autres. Ils le font.
Ils sont souvent l’élément déclencheur des hostilités. Tout peut devenir un tourment, une souffrance pour eux.
Lorsqu’ils ne maîtrisent plus rien, ils accusent. Ce réflexe n’est en fait qu’une façon de fuir la réalité. Cette réalité qu’ils ont façonnée, construite, cultivée et imposée au groupe.
Leurs ennemis, c’est eux-mêmes.
Ils oublient toujours que le boomerang revient toujours en pleine gueule. Il met parfois du temps, mais il revient toujours.
Ils finissent par rencontrer la solitude avec toutes les conséquences que l’on connaît chez celui qui ne sait pas exploiter cette solitude.
Arrête de croire que tu es éternel 23 heures sur 24.
Les révélateurs d’un ego ou d’un ‘je’ puissant sont l’antipathie, l’orgueil, le désir, la haine, la convoitise, la colère, …
Il est très difficile de satisfaire les égos.
Karine IWANSKI
« Le plus grand ennemi de l’homme est l’amour insensé qu’il éprouve pour lui-même. C’est cet amour insensé qui le sépare des autres« .